LA BIENVEILLANCE, LA NOUVELLE TENDANCE.

10 janvier 2022

« Faire preuve de bienveillance », nous l’avons forcément déjà entendu, ou bien même ajouté lors d’un entretien face à notre employeur. A l’heure où la bienveillance est considérée comme un gage de confiance, synonyme de qualité, on oublie parfois son sens.

Car si la bienveillance est réelle, elle est avant tout naturelle. Elle part d’une bonne intention, d’un souci d’aider son prochain, de rendre le monde de demain un peu meilleur.

Mais qu’en est-il de la bienveillance, lorsqu’elle s’applique à d’autres champs. Qu’est-ce que la bienveillance au travail ?

  1. Une tendance ou un besoin d’authenticité et d’humanité ?
  2. La bienveillance, à brandir fièrement ou à pointer du doigt ?
  3. La bienveillance au travail, une valeur qui s’incarne

1. UNE TENDANCE OU UN BESOIN D’AUTHENTICITÉ ET D’HUMANITÉ ?

La définition est claire, la bienveillance est « la capacité à se montrer indulgent, gentil et attentionné envers autrui d’une manière désintéressée et compréhensive » (Larousse). De nombreuses personnes aujourd’hui n’hésitent pas à se montrer bienveillantes, mais pas forcément dans un but totalement désintéressé.

Et si cela s’applique au cadre professionnel, la bienveillance est souvent vue comme une façade cachant un comportement suspect, car souvent employée dans un but choisi, servant des intérêts précis.

Et cette attitude s’est même retrouvée sous les feux de la scène. Avec la crise sanitaire, c’est tout notre rapport au travail et aux relations sociales qui a été bouleversé. L’isolement dû au confinement a engendré de nombreux changements, accentués par le manque de contact physique.

Toutefois, elle a été aussi l’élément déclencheur d’une envie d’être plus authentique, et plus attentif au contact. La crise aura donc apporté son lot de consolation: celui d’accélérer la transition des entreprises vers un fonctionnement plus humain, plus soucieux de l’autre. 

Désormais, la qualité de vie est au cœur des aspirations, car synonyme de performance. C’est à ce moment-là qu’entre en jeu la bienveillance. Prônée partout et par tous, elle peut être un véritable levier de performance, à condition qu’elle ne soit pas uniquement une tendance.

Et l’objectif est d’autant plus important qu’il n’est vital ! Seules les entreprises qui parviendront à utiliser cette définition à bon escient, à prendre ce virage pour l’inscrire dans un enjeu sur le long terme pourront prétendre être plus performantes. Et ainsi accompagner leurs salariés comme leurs clients à s’épanouir dans un environnement qui soit véritablement bienveillant.

2. LA BIENVEILLANCE, À BRANDIR FIÈREMENT OU À POINTER DU DOIGT ? 

Dans un monde où l’hyper compétitivité domine, la crise sanitaire a démontré une chose: les relations humaines sont essentielles à la survie d’une entreprise. Il ne s’agit plus seulement d’un business, ou d’une performance, mais avant tout de bienveillance.

La bienveillance professionnelle serait-elle devenue la nouvelle tendance de notre époque ? Elle apparaît comme indispensable pour évoluer dans le monde professionnel d’aujourd’hui. Mais sous ses bonnes intentions, se cachent de nombreux faux-semblants.

A l’heure où le greenwashing est proclamé à tout va, la bienveillance pourrait bien suivre le même chemin. Et les entreprises regorgent d’idées pour s’en assurer : babyfoot, espaces de repos, salles de sport, goodies et petits déjeuners offerts. La bienveillance est devenue la nouvelle culture d’entreprise.

Toutefois, la bienveillance, la vraie, existe encore ! Preuve en est, de belles entreprises continuent de faire leur chemin, avec des collaborateurs qui s’épanouissent et donnent du sens à cette valeur parfois brandie fièrement, sans être vraiment comprise.

3. LA BIENVEILLANCE AU TRAVAIL, UNE VALEUR QUI S’INCARNE

L’entreprise a pour but de générer des bénéfices, de créer de la valeur, et cela passe aussi par ses employés.

Aujourd’hui, les clients recherchent du sens, une histoire, des valeurs dans lesquelles ils se reconnaissent. Aussi l’entreprise doit-elle assumer son rôle éminemment social ? Celui de rendre service, de répondre à un besoin, ou, comme chez Citykomi, de créer une relation de confiance sur le long terme avec ses clients.

La bienveillance ne se résume pas simplement à des afterworks, ou des babyfoots. Elle est une valeur de cohésion entre les employés, comme les clients. Elle sert à placer les relations humaines au cœur de l’attention, à repenser les relations commerciales pour donner un sens à l’entreprise.

« Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait »! Chez Citykomi, la bienveillance, c’est avant tout créer un lien fort avec nos clients. Nous avons à coeur de faire rimer performance et efficacité avec bienveillance. Il est tout à fait possible de créer de la valeur en étant bienveillant (si, si, promis!).  

La bienveillance au travail fait partie de nous, de l’équipe que nous formons et des liens forts que nous créons avec nos clients. Elle s’incarne à travers des échanges passionnés, des contrats de confiance sur le long terme. Mais aussi via des collaborateurs et des clients satisfaits que nous écoutons pour toujours offrir le meilleur, optimiser constamment nos outils et satisfaire leurs besoins.

Et le tout, dans une bonne humeur contagieuse (et si vous ne nous croyez pas, venez nous rendre visite : nous serons ravis de vous présenter notre équipe !).